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FROMMENT Anthoine [pour Antoine Froment]; FLOURNOIS Jacques: Revilliod
Les actes et gestes merveilleux de la cité de Genève. Nouvellement convertie à l'Evangile faictz du temps de leur Reformation et comment ils l'ont reçeue redigez par escript en forme de Chroniques Annales ou Hystoyres commençant l'an M D XXX II. Mis en lumière par Gustave Revilliod. [suivi de ] Extraits contenans tout ce qu'il a d'important dans les Registres Publics de Genève par Jacques Flournois. Dès l'an 1532 à 1536.
un volume in8 de 24 x 15 cm ,Genève, Jules Guillaumes Fick, 1854. 1 volume in8 24 x 15 cm XXXI-[1]-249-[3]-CCIX-[7]p. plein vélin semi rigide à rabat,Imprimé sur un joli papier ivoire à toutes marges. Quelques rares taches pâles. Illustré de 40 pl. hors-texte la plupart par A. Gandon.
Antoine Froment, né à Mens dans le Dauphiné en 1508 ou 1509 et mort à Genève le 6 novembre 1581, est un réformateur et pasteur genevois. Il est considéré, au même titre que Jean Calvin ou Guillaume Farel - dont il a été l'élève et qu'il a suivi dans plusieurs villes de Suisse romande -, comme un précurseur de la Réforme protestante à Genève.Le 1er janvier 1533, il prêche à la place du Molard, à Genève. Mis en garde par le Conseil de la ville, il devra, quelques jours plus tard, quitter Genève. Il retourne alors à Yvonand, paroisse dont il avait la charge comme pasteur depuis deux ans. Il est également l'époux de la théologienne Marie Dentière - seule femme à avoir son nom inscrit sur le Monument international de la Réformation. Outre sa carrière théologique, il a aussi mené une carrière littéraire. De 1549 à 1552, il a été l'assistant du chroniqueur et historien genevois François Bonivard. Il est aussi l'auteur de «Les actes et gestes merveilleux de la cité de Genève, nouvellement convertie à l'Évangile». Il est mort à Genève le 6 novembre 1581. (wiki).
De la bibliothèque de P.Vigne avec son exlibris.
ouvrage important dans l'histoire de Geneve et du protestantisme lié à cette ville.
Bel envoi à la plume très Genevois "Don de Mr Gustave Revilliod [qui a mis enlumière ce texte] à Jean Vailly en souvenir de la construction de ses serres chaudes. Varembé