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Freida Mirbeau Octave Le jardin des supplices sur japon impérial trois états des gravures

02122016

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Freida Mirbeau Octave Le jardin des supplices sur japon impérial trois états des gravures splendide illustré très abouti et torturé du célère et rare Raphaël Freida plus connu pour ses affiches qui illustra seulement cinq livres.

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Freida Mirbeau Octave Le jardin des supplices sur japon impérial trois états des gravures

Paris, Javal et Bourdeaux, 1927 – (32,5 x 25,2 cm à toutes marges) Imprimeurs : Coulouma pour la typographie et Porcabeuf pour les eaux-fortes. Référence : Carteret, IV, 283. Le numero 71 des 60 ex. sur japon impérial avec les 11 gravures en 3 états, et 1 pl. refusée) Le justificatif annonce probablement par erreur 4 états.

Bel exemplaire dans une bonne reliure plein maroquin, tete dorée. Le livre est superbe on notera pour la précision une petite trace d'origine sous un nerf, et une rousseur à la premiere garde liée a l'acidité de la couverture, mais parfait exemplaire.

Raphaël Freida (Digne, 1877 - 1942). Artiste-peintre français d’inspiration expressionniste, élève de Jean-Paul Laurens, aussi grand cartonnier pour vitraux. Il se fit rare dans l’édition, n’illustrant que cinq ouvrages : « Poèmes Barbares » de Leconte de Lisle (1914), « Œdipe Roi » de Sophocle (1922), « Thaïs » d’Anatole France (1924), « Hérodias » de Flaubert (1926), et « Le Jardin des Supplices » de Mirbeau (1927).

Octave Mirbeau (Trévières, 1848 – Paris, 1917). Écrivain français originaire du Perche, journaliste, pamphlétaire et critique d’art ayant participé à faire connaître l’œuvre de Rodin, Camille Claudel, Van Gogh, Maillol, Monet et autres peintres impressionnistes dont il était un fervent défenseur. Il ne fut pas seulement un intellectuel influent de la Belle Époque, à la fois engagé, libertaire et individualiste, il en fut aussi une figure très populaire dont le succès dépassa largement les frontières de la France. Une figure subversive, pourfendeur des bien-pensants, souvent en guerre contre l’injustice sociale et l’hypocrisie des institutions. Ses principales cibles : le capitalisme, la bourgeoisie, et toute idéologie dominante. Une figure complexe aussi qui, avant de devenir un dreyfusard acharné, fut antisémite - comme il l’évoqua lui-même dans son article, « Palinodies » (1898) -, ou qui, par pacifisme chevronné, préconisait un rapprochement franco-allemand, ce qui lui valut une longue phase de purgatoire après sa mort en 1917. Singulière et multiple, son œuvre rejette les courants en vogue de l’époque, le réalisme, le naturalisme ou encore le symbolisme, lui préférant des voies plus tortueuses, comme celles de l’expressionnisme ou de l’impressionnisme. Son livre le plus connu est sans nul doute « Le Journal d’une femme de chambre » (1900), dans lequel il met en scène Célestine, une domestique en prise aux dessous peu ragoûtants de la bourgeoisie de l’époque. Symbole de la lutte des classes, ce roman inspira plusieurs cinéastes à l’instar de Renoir, Buñuel ou plus récemment Benoit Jacquot. Autre œuvre très connue et radicalement différente : « Le Jardin des supplices » (1899), dans lequel il regroupe différents textes sur les monstruosités humaines. On lui doit aussi quelques pièces de théâtre - dont l’immense succès, « Les affaires sont les affaires » (1903) ou encore la comédie, « Le Foyer » (1908), dans lequel il dénonce la charité business - ; un recueil de nouvelles « anti-Daudet », « Lettres de ma chaumières » (1885) et quelques autres romans dont certains étaient assez noirs comme « Le calvaire » (1886), « L’Abbé Jules » (1888), « Sébastien Roch » (1890) et d’autres plus légers, voire burlesques comme « Dingo » (1913).




Fiche technique

Époque1900 à 1960
ReliureCuir
LangueFrancais
Sujetillustré
AuteurRaphaël Freida Mirbeau
Nom de publicationLe jardin des supplices
Caractéristiques spécialesÉdition originale
FormatIn folio
Poids5
Nombre de pages11 gravures en 3 états + texte + 1 gravure frontispice
Caractéristiques spéciales2Signé

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